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Des fois j’traine dans le 1er arrondissement de Paris

Passer une journée dans le premier arrondissement de Paris, c’est plonger dans l’un des endroits les plus touristiques de la capitale : tu crois savoir ce que tu vas trouver, mais finalement, tu te fais surprendre toutes les cinq minutes. Entre les influenceurs lookés devant la pyramide du Louvre, les joggeurs qui traversent les Tuileries comme s’ils couraient le marathon de New York et les Parisiens qui tentent désespérément de garder leur air blasé, le spectacle est partout.

Pour moi, c’était l’occasion de me perdre au cœur de ce petit carré d’histoire, de musées, de jardins, de cafés un peu trop chers mais tellement parisiens, et de ruelles où l’on se dit constamment : “Ah oui, quand même, Paris c’est quelque chose.”

Allez, c’est parti pour une journée dans le 1er ? Accroche-toi, on part explorer le ventre chic de la capitale.

Les visites Atypiques du 1er arrondissement de paris

🖼️ 1. Plongée Fun et Lumineuse à la Fondation Cartier

Direction la Fondation Cartier, ce musée d’art moderne à 2 pas du Louvre. À peine à l’intérieur, la magie opère direct. L’exposition du moment est fascinante : installations chelous, œuvres gigantesques qui me font me sentir toute petite (pas désagréable), vidéos hypnotiques où je me suis demandé si je comprenais vraiment quelque chose ou si je faisais semblant comme tout le monde. Mention spéciale à cette salle où j’ai eu l’impression d’entrer dans la tête de l’artiste : ça brillait, ça clignotait, ça vibrait…

J’ai erré de pièce en pièce, avec ce sentiment délicieux d’être complètement larguée mais très contente d’être là. Le genre d’endroit où tu te surprends à réfléchir à des trucs beaucoup trop profonds pour un mardi matin, genre : “Mais qu’est-ce que la perception, au fond ?” Spoiler : je n’ai toujours pas la réponse.

Verdict : la Fondation Cartier, c’est un peu comme une piqûre d’art dans une journée trop normale. On en ressort le sourire aux lèvres, les idées un peu en vrac, mais avec cette sensation agréable d’avoir touché un autre univers — même si on n’a rien compris. Et franchement, ça fait du bien.

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🎨 2. Aftersquat : une ruche artistique sous acide (mais en légal)

Le 59 Rue de Rivoli, c’est un ancien squat transformé en atelier d’artiste et ça vaut mille musées. Déjà en arrivant devant le bâtiment bariolé te met dans l’ambiance « Entre, viens voir, j’ai des trucs à te montrer ! ».

On pousse la porte, et là… c’est Disneyland, mais pour adultes passionnés de peinture, de collage, de sculptures qui n’ont peur de rien et peut-être même de performances étranges.
Une musique flotte dans l’air. Ou peut-être c’est juste quelqu’un qui teste un instrument improbable, style harpe faite avec une passoire et des câbles d’écouteurs.

Les ateliers s’enchaînent sur plusieurs étages, chacun avec son artiste, son ambiance, son chaos organisé.
Dans l’un d’eux, un peintre travaille, clope au bec, sur une toile gigantesque. Il nous lance un « Salut ! » supernaturel, comme si on lui rendait visite pour boire un café pépouze.
Dans un autre atelier, une fille assemble des objets du quotidien — touches de piano, vieilles radios, bouts de jouets cassés — et transforme ça en sculpture futuriste. Du recyclage, la touche de génie en plus.

Ce que j’adore ?
Rien n’est figé. Les artistes bossent, te parlent, rigolent, te montrent ce qu’ils font. C’est vivant. Tu entends la vibration, l’effervescence, le petit bouillonnement créatif qui dépasse des murs.

On monte les escaliers en colimaçon, psychédéliques eux aussi. Chaque pas, chaque mur, chaque porte est recouverte de fresques, tags, stickers, messages cryptiques. J’ai l’impression d’être dans un carnet de dessins géant où chaque page aurait été confiée à quelqu’un de différent avec une règle simple : fais-toi plaisir.

Arrivé tout en haut, je me retourne. La vue sur le hall central ressemble à un univers mi Picasso mi Banksy. Et c’est génial.

En sortant, on se dit que c’est exactement le genre d’endroit qui te fout une claque dans le bon sens : une dose d’inspiration, une envie de créer quelque chose (ou au moins d’acheter un carnet et de faire semblant).
Pas besoin de chuchoter comme dans un musée. Ici, ça vit, ça bouge, ça respire.

Bref : si tu veux un shoot d’art brut, de créativité décomplexée et d’énergie parisienne underground, juste ce qu’il faut, le 59 Rivoli, c’est LA pause parfaite.
Et en plus, c’est gratuit.
Oui, gratuit.
Pour une fois que tu vis une expérience cool à Paris sans hypothéquer un organe, autant en profiter.

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✨ 3. La poste du Louvre : Quand le street art rencontre les PTT

En arrivant à la Poste du Louvre, on pensait juste traverser un bâtiment rénové façon chic-parisien, histoire de jeter un œil. En réalité, nous nous sommes retrouvés dans un mini-musée à ciel (presque) ouvert, dédié à un thème qu’on oublie souvent : l’univers du facteur. La cour arrière est habillée de fresques où peintures, sacs postaux et camions de facteurs prennent vie dans un joyeux bazar visuel. On y croise des boîtes aux lettres détournées en créatures rigolotes, des collages représentant des facteurs en pleine tournée façon super-héros urbains, ou encore des motifs graphiques rappelant les timbres à l’ancienne. L’ensemble donne l’impression que le bâtiment s’est rebellé contre son sérieux administratif pour devenir un gigantesque clin d’œil à son propre métier. Entre une livraison express et une lettre recommandée, on se balade dans un univers pop, ludique et totalement inattendu . Un hommage coloré à ceux qui sillonnent la ville chaque jour faire tourner le courrier. Bref, la Poste du Louvre réussit l’exploit de rendre poétique… un lieu administratif des plus boring. Rien que pour ça, ça vaut le détour.

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📸 4. Les Colonnes de Buren : la séance photo où tu deviens influenceur malgré toi

Les colonnes de Buren, c’est un peu comme les marches du MET à New York : tu y vas pour faire des photos, tu fais semblant que c’est naturel… alors que pas du tout.
Mais bon, c’est Paris, c’est joli, c’est graphique. Alors évidemment, nous y sommes allés, armé d’un téléphone et d’un sens de la pose approximatif.

Dès que tu arrives dans la cour du Palais-Royal, tu découvres L‘endroit. Un terrain de jeu en noir et blanc, des colonnes partout, des hauteurs différentes, un décor qui ferait fondre n’importe quel feed Instagram.
Et surtout : des gens qui posent.
Et posent.
Et reposent.

Je repère une colonne pas trop haute faut rester humble et je grimpe dessus avec la grâce d’un panda. Une fois là-haut, miracle : tout devient photogénique. C’est l’effet Buren : ça rend tout le monde 37 % plus stylé.

Une influenceuse effectue sa 14ᵉ pirouette capillaire devant un photographe ultra concentréUn gamin court partout en essayant d’escalader les colonnes comme si c’était Koh-Lanta.

On se met à rire pour une photo un peu ratée, on en refait une autre, puis encore une parce que « Vas y prends en rafale pendant que je saute ».
Bref, une séance photo classique.

L’avantage du lieu ?
Tout est graphique. Les ombres, les lignes, les perspectives : tu pourrais prendre une photo de ton pied et elle serait probablement arty.
L’inconvénient ?
Les touristes qui passent pile dans ton cadre au moment le plus crucial.

En repartant, j’ai jeté un dernier coup d’œil aux colonnes. Sous le soleil, sous la pluie ou sous une horde de visiteurs, ça reste un des endroits les plus cools pour une petite séance improvisée.
C’est beau, c’est gratuit, c’est photogénique : Avec le palais royal en fond pour embellir ton feed.

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🇯🇵 5. Le Quartier Japonais : un mini-Tokyo au cœur de la capitale

Le quartier japonais de Paris, autour de la rue Sainte-Anne, c’est un concentré d’énergie nippone en pleine ville. Entre les ramen fumants 🍜, les gyozas dorés , les melon pan trop mignons et les épiceries pleines de trouvailles , on a l’impression de se perdre dans une ruelle de Tokyo. On y croise des salarymen en mode pause déjeuner , des fans de culture japonaise 🧋 et des gourmands prêts à patienter gentiment pour un tonkotsu authentique. Un petit bout du Japon, vibrant et délicieux, sans prendre l’avion.

L’article complet sur notre virée dans le quartier japonais de Paris à découvrir ICI

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Les visites intemporelles du 1er arrondissement de Paris

🏛️ 1. Le Louvre (ou comment se perdre dans un musée géant)

Bon, le musée du Louvre est un passage obligatoire pour une visite des classiques de Paris. Mais n’ayons pas peur des mots : personne ne voit tout le Louvre . Tu viens, tu prends ta photo devant la pyramide de Pei (bonus si tu fais le touriste qui la « pince » avec tes doigts ), tu te perds dans les galeries , tu retrouves Mona Lisa (derrière une foule de smartphones tendus), et tu ressors avec l’impression d’être un peu plus calé·e niveau art .

Astuce : choisis un thème – genre « je ne regarde que les statues de mecs tout nus avec des épées ⚔️ ». Ça rend la visite beaucoup plus fun.

Ayant déjà visité le Louvre il y a fort fort longtemps (enfin… 1 centième du Louvre tellement c’est grand 😳), nous nous sommes contenté·es d’admirer la pyramide et sa file d’attente monumentale avant de bifurquer du côté du jardin des Tuileries.

« Le Louvres est le livre dans lequel nous apprenons à lire » Paul Cezanne

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🌳 2. Le Jardin des Tuileries (des joggeurs et des pigeons)

Ici, c’est ambiance dolce vita. Les 26 hectares de jardin  » à la française » que composent le jardin des tuileries sont équipés des chaises vertes ou te poser pour mater les touristes. Mais aussi de bassins avec des bateaux miniatures, de joggeurs qui se croient à Central Park et de statues qui regardent tout ça depuis 200 ans. Sache que le jardin des Tuileries, quelle que soit la saison fait toujours son effet. Le plaisir d’aller se poser avec un bouquin & un café pour profiter du soleil fait partie de mes activités préférées lors de mes visites à Paris.

Cette fois çi nous traversons le jardin des Tuileries fin novembre et le marché de Noël est déjà installé. La balade est un régal entre stands forains, chalets gourmands et décorations grandioses.

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🌀 3. La Place Vendôme (le Monopoly version luxe)

Tu vois cette place carrée avec une colonne au milieu ? C’est le temple de la haute joaillerie. Les vitrines Cartier et Chaumet brillent de mille feux. Bon passer la porte veut dire avoir un budget shopping complètement indécent, mais tu peux quand même y aller juste pour rêver (ou checker ton reflet dans une vitrine Chanel, ça marche aussi). Et si tu veux t’amuser, essaie de deviner combien coûte la bague exposée. Spoiler : c’est plus que ta voiture. C’est aussi içi que se trouve le ministère le justice et le célèbre hôtel du Ritz.

La colonne au centre de la place Vendôme fut bâtie en 1810. Haute de 46 mètres, Elle célèbre la campagne napoléonienne qui a conduit à la victoire d’Austerlitz le 2 décembre 1805. Fait insolite, elle fût construite avec le bronze des canons pris à l’ennemi autrichien et russe.


🏰 4. L’Église Saint-Eustache (Dieu mais avec du style)

Pas loin des Halles, tu tombes sur cette cathédrale version mini-Notre-Dame. Tu peux y entrer gratis, te faire happer par l’orgue monumental et méditer cinq minutes sur le sens de la vie (ou juste sur la question « qu’est-ce que je vais dîner ce soir ? »).

🤳 5. Le Pont Neuf (qui n’est pas neuf, mais carrément mythique)

Petit mindfuck : le Pont Neuf est le plus vieux pont de Paris. Tu marches dessus, tu regardes la Seine, tu vois les bateaux-mouches passer en bas et tu te dis : ouais, c’est cliché, mais c’est classe.

🏰 6. La conciergerie

Franchement, quand on débarque à la Conciergerie, on a un peu l’impression de traverser les siècles en mode accéléré. Tu passes de l’époque où les rois faisaient la fête ici à l’ambiance beaucoup moins fun de la Révolution française, où les murs suintaient la peur et les condamnations. C’est dans ces couloirs que Marie-Antoinette a passé ses derniers jours, et crois-moi, ça donne des frissons de marcher là où elle a attendu la guillotine. La salle des Gens d’Armes, gigantesque réfectoire gothique du 14ème siècle, est quant à lui impressionnant. Aujourd’hui, la Conciergerie a rangé ses bourreaux et ses juges pour devenir un musée dans lequel on revisite la Terreur en toute sécurité — mais avec ce petit parfum de tragédie historique qui te colle à la peau en sortant.

Faire du shopping dans le 1er arrondissement de Paris

1. Les Halles & la Canopée (le ventre de Paris… devenu shopping mall géant)

Avant, c’était un grand marché à ciel ouvert, maintenant c’est… un centre commercial futuriste où tu peux acheter des baskets, manger un ramen, puis descendre dans le RER pour fuir tout ça. Mais la bonne nouvelle : si t’as une météo de merde, c’est un bon abri, et il y a toujours un spectacle de rue improvisé. Genre le mec qui danse du hip-hop devant Sephora.

2. Rue de Rivoli (le shopping cardio-training)

Cette rue, c’est un tapis roulant de magasins : Zara, Mango, souvenirs « I ❤️ Paris » et compagnie. Tu peux marcher de l’Hôtel de Ville au Louvre et faire chauffer ta carte bleue tout du long. Bonus : entre deux magasins, l’architecture est canon (mais t’auras probablement trop de sacs pour lever la tête).


3. La Samaritaine (quand le shopping devient musée)

Ce grand magasin rénové est presque plus beau que ce qu’il vend. Les fresques, les escaliers, les dorures : on se croirait dans Gatsby. Et toi, pauvre mortel, tu flânes dans les rayons en priant pour que ton banquier n’ait pas activé la géolocalisation de ta CB.

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🍽️ Où manger dans le 1er arrondissement de Paris ?

Quand j’ai arpenté le 1ᵉʳ, je me suis dit que c’était un bon spot pour combiner un peu de luxe, un peu de Japon, et quelques pépites un peu cachées. Pour commencer : le fameux « jambon-beurre du Ritz Paris Le Comptoir » — parce que oui, un sandwich peut être chic : pain feuilleté doré, jambon taillé fin, fromage fondant… Parfait pour un pique-nique express sur un banc du coin.

Ensuite, direction le quartier japonais autour de la rue Sainte-Anne pour un petit détour dépaysant : Aki Boulangerie — idéal pour choper un melon-pan, un onigiri ou une pâtisserie franco-japonaise entre deux visites. Et si l’envie de chaud se fait sentir, il y a aussi les nouilles : un bon ramen dans une cantine japonaise du coin (les ruelles autour de Sainte-Anne sont pleines d’adresses — local pour se fondre dans l’ambiance nipponne).

Pour continuer sur d’autres repères sympas dans le coin : je recommande également —

  • Higuma (toujours rue Sainte-Anne) : les gyozas et les donburis y sont solides et ça change agréablement des classiques.
  • Laï Laï Ken — un petit spot ramen sympa, parfait pour un repas sans chichi après avoir arpenté les rues animées.
  • Et pour une pause sucrée ou un café très parisien, penser à Sébastien Gaudard Pâtisserie — un bon plan pour manger un dessert raffiné ou prendre un goûter.

Je mentionne aussi que c’est dans le 1ᵉʳ qu’on trouve Cédric Grolet (sa fameuse pâtisserie), mais qu’on n’y est pas allé… surtout à cause de la foule (faut avouer : la file d’attente refroidit vite l’enthousiasme 😅).

Ou manger à Paris : Nos adresses top ou flop à découvrir
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🛏️ Ou dormir dans le 1er arrondissement de Paris

Trouver où poser sa valise dans le premier arrondissement, c’est un peu comme choisir sa pâtisserie préférée chez Grolet : tentant, mais rarement bon marché. Le 1ᵉʳ arrondissement reste l’un des coins les plus chers de Paris, mais il faut reconnaître qu’il est carrément bien placé : à deux pas du Louvre, des Tuileries, de la Seine et du quartier japonais… bref, tout est accessible à pied. Entre les hôtels malins pour adoucir le budget, les adresses confortables au cœur de l’action et les palaces iconiques, voici une petite sélection pour savoir où dormir dans ce quartier ultra central.

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💶 Petit budget – Hotel Opera Maintenon

Situé non loin du Palais Royal / Opéra, l’Hôtel Opera Maintenon est une bonne option si tu veux un pied-à-terre simple, propre et bien placé sans te ruiner. Selon les saisons, c’est l’un des choix « entrée de gamme » les plus abordables dans le 1ᵉʳ.
Parfait si tu comptes passer tes journées à arpenter Paris, et juste dormir sur place — l’essentiel est à deux pas.

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⭐ Budget moyen / confort – Hôtel Thérèse

Hôtel Thérèse est niché dans une ruelle tranquille, en plein cœur du 1ᵉʳ, à quelques minutes des jardins du Palais Royal et de la zone japonaise-gastronomique autour de la rue Sainte-Anne.
Les chambres sont confortables, le décor chic–parisien, et l’emplacement idéal pour se balader à pied dans tout le centre historique. Un bon équilibre entre confort, charme et budget raisonnable.

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✨ Haut de gamme / luxe – Le Meurice

Si tu veux te faire plaisir — un vrai luxe à la parisienne — Le Meurice est un palace emblématique du 1ᵉʳ, face aux jardins des Tuileries, entre le Louvre et la Concorde.
Chambres élégantes, service haut de gamme, localisation parfaite : idéal pour une escapade chic, romantique, ou simplement pour se poser confortablement après une journée de vadrouille parisienne.

🤯 Quelques infos WTF sur le 1er arrondissement de Paris

  • Le plus petit arrondissement de Paris… mais l’un des plus chers. C’est un peu comme acheter un studio de 9 m² au prix d’un château en Dordogne. La magie parisienne, quoi.
  • La station Louvre–Rivoli avait autrefois de fausses vitrines de musée. Oui : on prenait le métro dans une station déguisée en galerie du Louvre. Imagine un RER transformé en extension du musée — totalement normal.
  • Le Louvre est tellement grand que si tu voulais tout voir, œuvre par œuvre, à raison de 30 secondes chacune, il te faudrait environ 100 jours sans pause. Bonne chance pour les jambes.
  • Il existe un passage souterrain secret entre le Louvre et le ministère des Finances. Une galerie historique qui a servi à transporter des œuvres d’art… et parfois des ministres en cavale logistique.
  • Le pont Neuf est le plus… ancien des ponts de Paris malgré son nom. Paris logique : zéro.
  • Sous les Tuileries, on a retrouvé les vestiges du « grand labyrinthe » du Palais des Tuileries, un ancien dédale royal où tu pouvais littéralement te perdre. Aujourd’hui : plus de labyrinthe, mais énormément de touristes — challenge finalement similaire.
  • Le Louvre a une salle dédiée aux objets trouvés… dont certains n’ont aucun sens. On parle de parapluies du XIXᵉ siècle, de sculptures oubliées, et même de cannes-sabre confisquées à des visiteurs trop enthousiastes.
  • Le 1ᵉʳ arrondissement a hébergé la plus petite mairie de Paris, longtemps surnommée la mairie boîte à chaussures. On y entrait à 3 maximum si personne ne respirait trop fort.
  • Louis XIV y possédait un terrain de jeu géant : le “Jardin du Palais-Royal”, où les Parisiens venaient légalement jouer, parier, draguer, et parfois faire n’importe quoi. C’était un peu le Disneyland 17ᵉ siècle.

Mon avis sur le 1er arrondissement de Paris

Au final, malgré son côté archi touristique (oui, on parle quand même de l’arrondissement du Louvre, des Tuileries et de « pardon-excusez-moi » toutes les deux minutes), j’ai trouvé le premier arrondissement vraiment super agréable à explorer. Entre l’After Squat, le street art planqué juste à côté du Louvre et les petites boutiques qui surgissent au détour d’une rue, on tombe sur de sacrées jolies pépites. C’est un coin qui mérite largement le détour — et qui prouve que même au cœur du triangle d’or des touristes, Paris sait encore surprendre.

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