🧳 Ma trousse de toilette de voyage : l’art de sentir bon sans payer un bagage en soute

🧴 Les indispensables de base

Soyons honnêtes : même en ayant refait ma trousse cent fois, je finis toujours par oublier un truc essentiel. Une fois, c’était le déo. (Autant te dire que personne ne s’est assis à côté de moi dans le bus ce jour-là.)
Mais dans l’idéal, voilà mes basiques non négociables, les vrais héros de l’hygiène nomade.

🧼 Le savon multi-usage

Gel douche ? Lessive ? Peu importe, j’utilise le même produit pour tout.
C’est économique, écologique, et parfois catastrophique pour ma peau, mais au moins je gagne de la place. Et avec le bon produit il est carrément possible de coupler minimalisme et peau douce( enfin presque).

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💧 Le déodorant (format mini ou solide)

L’indispensable absolu. Même quand je suis en mode cracra total, il y a des limites.
Petit conseil : le format solide, c’est top, sauf quand il fond au Sri Lanka dans ta trousse et que tout ton nécessaire sent la lavande pendant trois semaines. True story.

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🪒 Le rasoir

Pas tant pour le look que pour éviter de ressembler à Robinson Crusoé au bout de quatre jours.
Pro tip : garde le capuchon de protection. Sinon, tu apprends très vite que fouiller ta trousse de toilette devient une activité dangereuse.

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🧻 Le mini rouleau de papier toilette ou les lingettes

On ne parle pas assez de ça.
Parce qu’il y a un moment, en voyage, où tu te retrouves dans des toilettes sans papier, sans eau, sans espoir. Ce jour-là, tu remercieras ton toi du passé d’avoir pensé aux lingettes.

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🧠 Les indispensables malins

On n’en parle jamais dans les guides, mais il y a une catégorie d’objets qui font la différence entre un voyage serein et une descente aux enfers logistique.
Ils ne sentent pas bon, ne brillent pas, ne prennent pas de selfies — mais ils sont là, fidèles, quand tout part en sucette.

✂️ La pince à épiler (multi-usages de l’extrême)

Un poil rebelle ? Une écharde dans le pied ? Un autocollant récalcitrant ?
La pince à épiler, c’est le couteau suisse du soin personnel.
Perso, la mienne a déjà servi à réparer des lunettes, ouvrir un sachet de nouilles et sauver ma fierté avant un date de voyage. Oui, tout ça.

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Kit complet pince à épiler, ciseaux avec étui de voyage.

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🩹 Les pansements

Il y a toujours ce moment où une nouvelle paire de chaussures décide de t’attaquer.
Un pansement, c’est petit, discret, et ça t’évite de boiter comme un pirate à travers Lisbonne. Bonus : tu passes pour un aventurier intrépide, pas pour un touriste en souffrance.

💤 Les bouchons d’oreilles

S’il y a bien un truc que j’ai appris en voyage, c’est que le silence, c’est un luxe. Entre les ronfleurs de dortoir, les bus de nuit avec musique locale à fond et les coqs qui se prennent pour des réveils suisses, j’ai fini par comprendre que mes bouchons d’oreilles étaient ma seule garantie d’une nuit paisible.
C’est pas glamour, mais c’est la frontière fragile entre “bonne humeur de voyageuse” et “zombie agressif”. En plus, c’est tout petit, léger, et ça m’a probablement sauvé la vie ( en tout cas la nuit).

😴 Le masque pour les yeux

Lumière, néons, rideaux transparents, voisins insomniaques… Le monde entier semble ligué contre le sommeil du voyageur.
Le masque pour les yeux, c’est mon arme de repos massive.
Je m’en sers dans les bus, les avions, les auberges ou même quand le soleil se lève trop tôt. Il m’a permis de dormir dans des conditions dignes d’un cauchemar : aéroport de Doha, train de nuit vers Chiang Mai, et même dans un ferry méxicain avec les lumières allumées toute la nuit.
Un simple bout de tissu, mais un vrai super-pouvoir du sommeil international.

Bouchons d’oreille anti bruit loop quiet

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🦟 Le répulsif à moustiques

Ah, les moustiques. Ces petites créatures perfides qui semblent toujours savoir où je dors.
Le répulsif, c’est pas glamour, mais c’est vital.
Je ne compte plus les soirées où j’ai dû m’enduire façon crème solaire tropicale juste pour éviter de finir avec les jambes en Braille. Et selon les pays, c’est parfois une question de survie plus que de confort.
J’ai testé les sprays, les roll-on, les patchs, les bracelets, même les huiles essentielles (spoiler : ça marche moyen). Aujourd’hui, je voyage toujours avec un flacon de mon produit miracle — discret, efficace et un poil toxique, mais au moins, je dors tranquille.

💊 Les médocs de base

Pas besoin d’une pharmacie entière, mais quelques cachets de paracétamol, un anti-diarrhéique (parce qu’on sait tous ce qui arrive après “je vais juste goûter ça”), et un désinfectant.
Ton futur toi te bénira, surtout dans un bus sans clim coincé sur une route de montagne.

🧴 La crème miracle

Appelle-la comme tu veux : crème hydratante, baume réparateur, pommade magique.
L’important, c’est qu’elle fasse tout : piqûres, coups de soleil, lèvres gercées, ego froissé.
Je l’ai testée partout : sur ma peau, sur mes mains, une fois même sur une chaussure. Elle mérite une médaille.

Ma préférée

Depuis que j’ai découvert la crème hydratante de la marque Erborian je ne m’en lasse plus

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💅 Les bonus utiles

🪞 Le mini miroir

Petit, plat, incassable — il m’a évité bien des drames sociaux.
Parce qu’entre la peau qui pèle, le bouton de moustique sur la joue et le coup de soleil façon rougeur intense , mieux vaut savoir où on en est.

🌸 Le savon solide (le fameux)

J’ai longtemps résisté à la mode du solide. Et puis j’ai compris : zéro fuite, zéro plastique, et ça dure trois mois.
Le seul souci, c’est qu’à la fin, il ressemble toujours à un caillou suspect que tu retrouves au fond de ta trousse et que tu hésites à utiliser. (Spoiler : tu l’utilises quand même.)

💨 Le mini parfum

Totalement inutile, mais diablement satisfaisant.
Rien ne vaut une petite vaporisation de dignité après 12 h de bus et 40 °C dans la nuque.
Format échantillon obligatoire, sinon adieu ton bagage cabine et bonjour le drame à l’aéroport.

🧴 La trousse suspendue (Aka l’invention du siècle)

Tu crois connaître le bonheur ? Attends d’avoir accroché ta trousse de toilette dans une salle de bain douteuse à l’autre bout du monde.
Fini le savon qui tombe dans l’évier, les mini-bouteilles qui roulent sous la serviette, et les lingettes qui disparaissent mystérieusement dans le fond du sac. Tout est visible, accessible et propre, même dans les toilettes d’une auberge où la seule lumière fonctionne par intermittence.

Perso, ma trousse suspendue m’a sauvée plus d’une fois : une fois à Chiang Rai, j’ai pu me brosser les dents pendant que deux touristes tentaient de faire leur lessive dans le lavabo à côté. La trousse ne bougeait pas, moi je restais digne, et j’ai même eu le temps de sourire dans le miroir.
C’est un petit objet, mais un vrai game-changer du voyageur minimaliste, digne d’un prix Nobel selon moi.

Ma préférée

Grâce à son look marinière et ses multis-poches

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🌿 Le petit stock de cotons-tiges, élastiques et pinces à cheveux

On sous-estime toujours ces mini-objets. Et pourtant, le moment où tu réalises que t’as oublié un élastique ou un coton-tige, c’est toujours le pire : le matin du bus de 7 h, cheveux dans tous les sens et maquillage partiellement effacé.

Mon kit de survie esthétique contient :

• quelques élastiques pour dompter la crinière en bataille,
• des pinces à cheveux pour les journées où le vent décide de te jouer des tours,
• des cotons-tiges, qui sauvent la mise pour les retouches maquillage et pour nettoyer les petits bobos inopinés.

Tout est discret, léger, et absolument indispensable pour ne pas finir avec une mèche collée par la crème solaire ou un mascara coulant sur le visage après 12 h de bus.
Honnêtement, ce petit stock, c’est ma sécurité esthétique. Sans lui, je serais probablement encore en train de chercher un miroir improvisé dans le coin d’une auberge à Lisbonne…

💁‍♀️ Les petits luxes que j’assume (parce qu’on vieillit, mais avec style)

Oui, je suis toujours une rat de voyage, je voyage léger et je taille mes savons au millimètre pour qu’ils passent dans le sac cabine.
Mais avec le temps, j’ai appris qu’on peut être minimaliste et quand même se faire plaisir. Certains objets sont devenus mes petits luxes incontournables : ils prennent un peu de place, mais ils transforment totalement le voyage.

⚡ La brosse à dents électrique

J’ai longtemps résisté. Trop lourde, trop fragile, trop “madame a ses exigences”.
Et puis, j’ai craqué. Et je ne regrette rien.
Voyager avec ma brosse à dents électrique, c’est un petit luxe qui me donne un vrai sentiment de dignité matinale, même après 12 h de bus ou un vol de nuit.
Elle prend un peu de place dans la trousse, mais elle fait tout le boulot pour moi, et mes dents ne me jugent jamais quand je souris pour la photo du passeport. Bonus : les piles durent étonnamment longtemps, et elle a survécu à plus de chutes dans les salles de bain d’auberges que moi.

Ma préférée

Un kiff, un point c’est tout 🙂

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💆‍♀️ Le vrai soin pour les cheveux

Après des semaines de vent, d’humidité et de douches tièdes au débit suspect, mes cheveux méritent un peu de respect.
Alors je me trimballe un petit pot de masque capillaire et parfois un après-shampoing un peu plus grand que ce que permet le format cabine.
C’est mon moment spa de backpackeuse, et mes cheveux me remercient (enfin, ils se tiennent droit).

👁️ Le mascara

Voyager cracra ne veut pas dire ressembler à un zombie.
Un coup de mascara et hop, un minimum de dignité dans le miroir de l’auberge.
Petit, léger, pratique : il sauve la mine après une nuit courte ou un vol interminable.

✨ La BB crème

Parce que même avec 20 kg de sac et trois jours sans miroir correct, avoir bonne mine, ça change tout.
Quelques touches suffisent pour masquer la fatigue, donner un air moins “je sors du bus depuis 12 h” et garder un peu de confiance devant les selfies ou les photos officielles de passeport.

L’indispensable

Le trio a avoir sous la main pour sauver une chevelure même au bout du monde.

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🌎 Le plaisir de découvrir des produits locaux

Voyager, ce n’est pas seulement voir des paysages ou goûter des plats improbables. Pour moi, un des plaisir de séjourner dans un autre pays, c’est aussi découvrir des produits qu’on ne trouve pas en France.
Que ce soit dans les CVS de New York, les 7-Eleven de Thaïlande, ou les petites crèmes de beauté locales en Pologne ou au Portugal, je me fais toujours plaisir à tester un nouveau soin, un nouveau baume ou une crème étrange au packaging improbable.
C’est un petit luxe supplémentaire : emporter un morceau du pays dans ma trousse, tout en me permettant de me sentir un peu chez moi même à l’autre bout du monde.

🚿 Le vrai luxe en fait c’est de sentir encore bon à la fin du voayge

Au final, ma trousse de toilette, c’est un peu le reflet de ma philosophie de voyage : compacte, bancale, efficace, et pleine de contradictions.
Je râle toujours parce que j’ai pas de place, mais j’emporte quand même un soin pour les cheveux, un mascara et ma BB crème.
Je prêche la vie simple, mais je panique si j’oublie ma crème hydratante.
Bref, je suis ce mélange instable entre le backpacker roots et la diva de salle de bain.

Mais si les années de galères m’ont appris un truc, c’est que le vrai luxe, en voyage, ce n’est pas d’avoir dix produits de beauté.
C’est de se sentir propre, humaine, heureuse et suffisamment fraiche pour sourire sur la photo.

Et toi, t’es plutôt team “bagage en soute et serviette en coton bio” ou “rat de voyage avec savon multi-usage” ?
Dis-le-moi en commentaire — qu’on compare nos trousses et nos priorités de globe-trotteuses.

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